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En 2003, la découverte du digital m’a laissé entrevoir des possibilités nouvelles et conformes à mes objectifs. C’était, après des années d'interruption, une raison de m’y remettre une nouvelle fois.
La lecture des articles et des forums sur internet ainsi que la consultation des catalogues des fabricants ont été d'un grand secours.
J’ai choisi la console Intellibox qui me paraissait constituer le meilleur rapport qualité/prix. Je n’ai jamais regretté ce choix. Puis j’ai acheté quelques composants électroniques (commande d’accessoires, modules de rétrosignalisation et décodeurs notamment) et téléchargé la version de démo de windigipet. Je disposais déjà d’un parc locos et wagons assez important. J’ai décidé de digitaliser deux locos avec des décodeurs Lenz 1035. J’ai opté pour la voie RocoLine à ballast pour des raisons de commodité, notamment pour le camouflage des fils.
A partir de là, j’ai fait ce que je recommande à tous : monter un simple ovale avec 1 ou 2 aiguillages et me familiariser avec le digital.
Plusieurs constats se sont imposés tout de suite :
- Le digital présente un réel intérêt, à condition de mettre en place une chaîne numérique complète, c'est-à-dire de l’ordinateur jusqu’à la commande de tous les accessoires,
- L’affirmation assez répandue qu’il n’y a plus de fils électriques avec le digital est fausse, dès lors que l’on veut créer un réseau réaliste (rétrosignalisation, commande de signaux, etc.)
- Le digital est onéreux : la console et tous les modules électroniques sont chers, sans compter les décodeurs, etc.
La page suivante (page2) apporte quelques précisions sur la construction du réseau.